Le Pianautilus

Joyeux Noël à toutes et tous, plein de beaux moments, de bonne chère, et de belle musique.

coignet a écrit : vendredi 12 déc. 2025 13:02 C'est très probablement parce que Camille Pleyel était très ami avec Chopin que ce dernier considérait que ces pianos étaient des pianos de Camille Pleyel plutôt que des pianos de marque Pleyel.

Ah oui, lu ainsi comme une parole de Chopin (ce que j'ignorais), ça fait complètement sens.

Très joli cadeau. :bravo: :bravo:

Petite remarque de syntaxe : c'est marrant, j'aurais plutôt dit "un piano Pleyel" plutôt que "un piano de Pleyel"... Mais bon, c'est le choix de la Maison Pleyel - et non pas de la maison de Pleyel :mrgreen: - ils savent ce qu'ils font/disent/écrivent .

Bonjour et bienvenue aux récents pianautes.
Louise : tu es au bon endroit pour trouver conseils, écoute et accompagnement dans ta démarche.
Au plaisir de te lire, et peut-être de t'écouter.

Nous sommes maintenant 20, avec Guylaine qui vient de confirmer sa présence.

Je reviendrai vers vous tous début 2026 pour le partage des arrhes.

Avec Summertime qui m'a aujourd'hui confirmé sa présence, nous sommes maintenant 19 participants inscrits.

Je t'inscris avec une grande joie
Et avec déjà le plaisir de pouvoir à nouveau t'écouter. (Connaissant l'effet pianomoteur de Beuvray, j'ai de grands doutes sur le fait que tu te bornerais à n'être qu'un simple auditeur )

Tragique, tu trouves ? Je dirais plutôt inquiétante, angoissante.

Oui, aussi. Ce que je disais aussi par le côté fantômatique de la main droite. Une interprétation hantée, d'une certaine façon.


Mais pour moi, ce serait plutôt l'inverse : Sokolov = Eusebius et Trifovov = Florestan. Eusébius, c ...

Sokolov ! Très nettement. Son interprétation garde complètement l'esprit espiègle et crépitant de la pièce.
Trifonov, en alourdissant bien trop (à mon goût) la main gauche, et où il donne une dimension brumeuse, presque fantomatique à la main droite, rend la pièce quasi tragique mais trahit ainsi à ...

Très intéressant.
Et très vrai !
Merci