
Merci Lee pour le concert je vais écouter ça avec plaisir.
Merci Lee et merci Armag. Oui, j'en ai bien profité ! J’ai encore les oreilles pleines de musique…
Hémiole a écrit : vendredi 11 févr. 2022 15:38 Merci Chantal pour ce compte rendu et les liens ! L'intermezzo est magistral en effet (un peu trop ?).
Merci Hémiole et Armag. Heureuse que mes impressions de retour de concert vous aient intéréssés. La chaîne YouTube "Enchanted Wanderer" dont j'ai donné le lien est une véritable mine : on y trouve à peu près 150 vidéos de Lugansky (il y en a même une où on l'entend, à 14 ans, jouer des études de Scriabine). Il y en a pour des heures à visionner tout ça ! Je n'en ai regardé qu'une infime partie.Armag a écrit : samedi 12 févr. 2022 09:35 Merci Chantal pour ce compte rendu et ces différents liens. Je vais aller écouter tout ça. Bon week-end.
L'interprétation est magnifique avec une égalité, un rondeur de l'accompagnement intermédiaire et beaucoup de lyrisme dans le chant, très passionné. Je trouve que c'est un peu trop en force, et démonstratif. Le morceau mérite plus de douceur il me semble. Mais on peut le concevoir de manières diverses bien sûr.Chantal a écrit : samedi 12 févr. 2022 12:20 @ Hémiole : pourquoi trouves-tu l'intermezzo de Schumann un peu trop magistral sous les doigts de Lugansky ? Moi, j'aime bien son interprétation. Je me souviens l'avoir entendu par je ne sais plus quel grand pianiste : toutes les notes étaient égales, pas une plus forte ou plus longue que les autres, c'était d'un ennui !!!
Il aime bien jouer Debussy, j'étais impressionné par son Jardins sous la pluie. En fait je suis toujours impressionnée par les pianistes pros ou amateurs qui ne sont pas français mais qui osent jouer des Français pour les Français, justement parce qu'on risque decevoir le public avec des décalages culturels...Chantal a écrit : vendredi 11 févr. 2022 10:39 En deuxième partie, la Suite Bergamasque de Debussy qui était initialement prévue au programme a été remplacée par les Estampes jouées à mon goût un peu trop « à la russe » (on est assez éloigné de la poésie en demi-teintes d’un Samson François, qui reste ma référence absolue pour Debussy).