Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
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Re: Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
Ah, d'accord, merci pour cette explication, Vincent. Donc la loi n'est pas respecté, tu clarifies une simple question pour moi !
Re: Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
Je n’ai pas dit ça. Je ne suis ni compétent ni habilité pour le dire d’ailleurs. J’ai dit que c’est à la justice - au Conseil d’Etat en l’occurrence - de caractériser si la loi a été transgressée ou pas. Nous le saurons lorsque le jugement aura été rendu.
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Re: Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
Tu as raison c'est moi qui je fais confiance au RSF !
Re: Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
Mais moi aussi (encore qu'un de leur fondateurs ait très mal tourné... )
Cela étant, je me garde en général de condamnations a priori et je fais confiance à nos systèmes juridiques.
Et entendons-nous bien : je n'ai aucune sympathie particulière pour CNews non plus. Bien au contraire.
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Re: Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
J'avoue une fascination déraisonnable avec ce mec mal tourné, vraiment, il est tellement comme un MacBeth ou Hamlet de nos jours...ce n'est pas rationnel de tout, mais je me suis dit que si on pouvait décortiquer ce qui passait dans la tête d'un homme mal Mené-trop-hard, peut-être qu'aurait-on les clés de LA malaise française qui est toujours notre fléau actuel ?
Re: Quand la politique s'invite au lieu de musique classique...
Il n’y a pas de malaise français à mes yeux. Il y a un malaise généralisé des démocraties face au populisme grandissant. Et je ne pense pas que Robert Ménard ait suffisamment de représentativité et d’importance pour que sa dérive puisse expliquer cette lame de fond qui traverse notre époque.
Il en est un triste symptôme, ni plus ni moins.
Mais en toute franchise, je ne crois pas que ce soit ici le lieu d’un débat - aussi passionnant pourrait-il être - comme celui-ci. On serait bien loin de la « politique qui s’invite à la place de la musique classique », et ce n’est pas non plus un sujet qu’on peut aborder en quelques échanges sur un forum (sans parler des risques de partir en vrille sur un tel thème).
Et puis il faut que je me prépare pour prendre la route vers Beuvray. Tu nous y manqueras d’ailleurs.
Il en est un triste symptôme, ni plus ni moins.
Mais en toute franchise, je ne crois pas que ce soit ici le lieu d’un débat - aussi passionnant pourrait-il être - comme celui-ci. On serait bien loin de la « politique qui s’invite à la place de la musique classique », et ce n’est pas non plus un sujet qu’on peut aborder en quelques échanges sur un forum (sans parler des risques de partir en vrille sur un tel thème).
Et puis il faut que je me prépare pour prendre la route vers Beuvray. Tu nous y manqueras d’ailleurs.