

Non parce que moi ça fait 15 ans que je cherche et chéris le "confort" au piano, mais bon évidemment ce n'est pas la même chose que la "zone de confort" dont vous parlez.
(Je chéris le confort parce qu'il va avec le naturel, avec la liberté et très souvent avec un beau son.)
Mais bon je ne sais pas. La zone de confort c'est quoi? les habitudes? les acquis mémorisés et conservés au prix d'un certain effort? ou les acquis devenus complètement inconscients et intériorisés? Parce que dans le dernier cas, alors c'est aussi quelque chose de désirable et en même temps c'est extensible sans doute à l'infini , lorsque la recherche consciente est réactivée par une pièce, une idée, une émotion; sinon, la musique ne serait que mémoire et rituel. Oui je pense comme Catherine, ce qui compte c'est le mouvement, les vagues, clapotis ou tempêtes selon le tempérament de chacun.