Le Pianautilus

Jean-Séb, je me souviens de la lassitude et des doutes dont tu nous avais fait part à l’automne concernant le piano. J’ai l’impression que tu es revenu à tes amours et c’est bien agréable de t’écouter toi et ton répertoire varié. Bonne journée à toutes et tous

Merci Agnès, mais s'il me faut à chaque fois un virus dévastateur et le confinement ad hoc pour me motiver, ce n'est pas extra. En tout cas, ça prouve qu'il ne faut pas faire trop de plans sur la comète. À chaque jour suffit sa peine.

C'est bien vrai!

CC’est presque un récital Jean-séb!
Merci pour toutes ces découvertes et surtout continue!

jean-séb a écrit : jeudi 26 mars 2020 10:35 … mais s'il me faut à chaque fois un virus dévastateur et le confinement ad hoc pour me motiver, ce n'est pas extra.

J'espère bien que non, quand même. En tout cas, bravo , et merci pour la découverte.

Bon, je crois que Josiane va me reprocher un excès de rubato qui vire à la guimauve, mais tant pis, j'aime bien cette valse-rêverie de Heller :

Oh non! Je ne reproche rien à personne! Surtout lorsque je ne connais pas l’oeuvre et que je n’en possède pas la partition.
Je ne connaissais pas merci pour cette jolie valse.
Le rubato à l’excès c’est surtout dans Chopin que je ne le supporte pas, on s’arrête, on reprend, on coupe les traits des fois ça me donn e l’impression que ça manque de travail.
J’ai même entendu un pianiste faire ça dans du Schumann! Quelle horreur!

Je n'avais qu'entendu le nom de Van Gheyn jusqu'ici et j'ai été très agréablement surpris par cette écriture sans aucune lourdeur que tu rends parfaitement, ce morceau fugué est vraiment très agréable (dans mon esprit qui n'est pas exempt de stéréotypes un organiste ne pouvait écrire que des choses un peu lourdes !… à part JSB bien sûr). Si tu as l'occasion de nous déchiffrer les 3 autres de la série ce sera un plaisir de les entendre.

Quant à Louise Wright, je n'en avais jamais entendu parler. Effectivement ces deux pages évoquent parfaitement un soir dans quelque jardin à l'anglaise. Bravo de nous les faire entendre aussi joliment. Vu l'heure j'écouterai Heller demain. Bonne nuit à tous.

Je profite d'avoir une petite fenêtre de temps ce samedi pour me mettre à jour dans mon programe d'écoute.
Bravo Jean-Séb pour cette belle (et profuse) production. Comme cela a été dit plus haut, je suis heureux de voir que cela témoigne d'une proximité retrouvée (certes sous la contrainte, mais on sent que c'est avec gourmandise) avec ton piano. J'ai beaucoup aimé l'Allemande de Lully. Et beaucoup Nannie L. Wright. Je lui ai trouvé beaucoup d'accents d'Edward MacDowell. Mais époque et origines l'expliquent avec évidence.

Bravo à toi aussi Hémiole. On en veut d'autres en effet, ça laisse sur sa faim !

voila ma contribution une jolie valse caprice d’Agathe baker groendahle. compositrice que j'ai découvert grâce à Line-marie.
mon piano n'est pas très juste mais je vais devoir patienter plusieurs semaines.