Le Pianautilus

Merci Laure.
Mon zoom Q2 HD possède moins de réglages audio que le H2n, probablement parce qu'il permet la vidéo. On peut pas tout avoir!!
Par contre, c'est bien que tu t'enregistres maintenant. Oui au début, on s'aperçoit qu'il y a un monde entre ce qu'on entend et ce qui est dans la boite. Mais passée cette première émotion forte assez désagréable , on peut en tirer partie. Tu es toujours dans les Pagodes? Là où tu habites c'est presque ça

Merci beaucoup Laure pour tes commentaires touchants. Ta remarque est très juste puisque ma prof m'ont donné comme remarque globale dès le début, surtout pour Beethoven elle m'a dit, il faut un toucher plus profond. Mais j'ai du mal quand ça doit être moins fort que l'autre main ou piano / pianissimo...

Parfois sur un piano plus moderne j'ai des belles surprises, je verrai.

Marie-France a écrit : dimanche 23 août 2020 08:35 Tu es toujours dans les Pagodes? Là où tu habites c'est presque ça

Je n’ai pas encore commencé ! Non là je m’affaire sur Gretchen (la transcription de Liszt) qui me donne bien du fil à retordre et que je n’arrive pas à faire sonner correctement, d’où cette récente frénésie d’enregistrements… C’est bien mais pas si facile ; j’entends plein de choses qui ne vont pas, j’arrive à faire le tri entre ce que je pourrais améliorer pour le morceau et ce qui relève d’un travail de longue haleine, mais je n’ai pas vraiment les solutions d’exercices. Et puis des fois je diagnostique un truc mais si je réécoute 5 minutes plus tard, je me dis ah non, ça va, c’est plutôt ça qui ne va pas. En fait, je suis assez perdue

Ah, Laure, merci pour ces nouvelles sur le "Handy" (belle antiphrase ! ) Recorder ! Ma conscience retrouve un peu de repos. En tout cas, je suis heureux que tu le fasses ainsi participer à tes progrès. Et à notre plaisir, j'ai hâte de pouvoir t'écouter sur Gretchen am Spinnrade, un de mes lieds préférés. Chez moi, à dire vrai, ce que je qualifiais d'"ergonomie douteuse", sans parler de ses 422617 options (tu avais en effet mal compté ) avaient bon dos pour masquer au fond ce qui n'était que mon indécrottable paresse à m'en servir pour réellement m'écouter (et m'améliorer).

Je viens de finir Station Eleven, si tu connais. Rassure-toi : dans un monde post-apocalyptique, ton piano te sera plus utile que de savoir cultiver les radis. (Pour autant cependant que tu trouves 1) un piano aisément transportable et 2) une "Symphonie itinérante" (*) qui veuille bien t’accueillir.
(*) Je laisse le lecteur ou la lectrice intéressé(e) chercher - et trouver facilement - de quoi il s'agit)

[Erratum : quelques corrections a posteriori. Mon clavier, le coquin, avait mangé quelques mots à mon insu.]

Vincent a écrit : mardi 25 août 2020 16:05 Ma conscience retrouve un peu de repos.

Mmh... * Bouffée de pipe... Cette conscience m'a l'air encombrée de choses bien inutiles

Vincent a écrit : mardi 25 août 2020 16:05 Et à notre plaisir, j'ai hâte de pouvoir t'écouter sur Gretchen am Spinnrade, un de mes lieds.

C’est gentil ! Mais je ne sais pas si je serai en mesure de poster un enregistrement sur le forum. On entend encore beaucoup de défauts que je ne suis pas sûre d’arriver à résoudre, et puis ma prof ne l’a pas entendu joué en entier (j’ai encore besoin qu’elle me dise un truc comme « ça s’écoute » avant de publier quoi que ce soit ici). On a ses pudeurs ... et sa conscience encombrée de plein de trucs inutiles aussi

Vincent a écrit : mardi 25 août 2020 16:05 Je viens de finir Station Eleven (si tu connais). Rassure-toi : dans un monde post-apocalyptique, ton piano te sera plus utile que de savoir cultiver les radis. (Pour autant cependant que tu trouves 1) un piano aisément transportable et 2) une "Symphonie itinérante" (*) qui veuille bien t’accueillir.)

Je ne connais pas mais ça m’intéresse ! (J’essaie de bâtir un corpus de textes sur le thème pour mes élèves, je vais donc regarder ça de très près)

Bonjour, voici un enregistrement de la Sonate Posthume pour violon et piano de Ravel, ici jouée non pas au violon mais à la flûte. C'est une sonate de jeunesse, encore influencée par ses maîtres, raison probable pour laquelle Ravel n'a pas souhaité la répertorier. Elle ne fut publiée qu'en 1975. Néanmoins je l'aime beaucoup.
J'espère que cela vous plaira malgré le léger déséquilibre des plans sonores flûte/piano.
https://youtu.be/8JmwK3vfkfA

C'est très impressionnant, quelle maîtrise ! Un grand bravo à toi, Marie-France - et au/à la flûtiste (on le/la connaît ?)

Merci de ton écoute Vincent.
Non, le flûtiste veut rester anonyme.. et vous ne le connaissez pas

Très belle réussite! Ces longues phrases doivent être difficiles à la flûte...
Bravo aux deux musiciens accomplis, c'est un plaisir de vous écouter.
A-t-il fallu transposer? (je n'ai pas l'impression à l'écoute, mais je serais curieuse de le savoir).
Avez-vous pris des décisions stylistiques particulières compte tenu du changement d'instrument?
Mes félicitations, Marie-France tu es une magnifique interprète de Ravel, y compris ce Ravel qui se cherchait encore.

Merci Claudia
Non pas de transposition mais parfois la flûte joue à l'octave supérieure.
Les principales décisions l'ont été par rapport aux respirations du flûtiste. Quelle idée de respirer! Franchement!
De toute façon, il est évident que cela rend totalement différemment.
Mais j'adore les harmonies de la partie piano.