Merci beaucoup à tous les Pianautes qui ont contribué au fil, j'ai eu beaucoup de plaisir de vous lire et de découvrir quelques œuvres - oui Agnès, tu avais raison, je ne connaissais pas Claude Nougaro.
L'album que mon père mettait en boucle à la maison ou dans la voiture que j'ai aussi beaucoup aimé, j'ai pu retrouver grâce à Virgule. En fait après un certain moment, la cassette audio s'est cassée, impossible de la récupérer et mon père a racheté un CD avec d'autres interprètes (Brendel) mais c'était complètement différent.
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Je fais des aveu, je ne suis pas absolument sûr concernant THE album qui était mon propre pas vers la classique et je ne suis pas sûre pouvoir faire la différence avec d'autres interprétations.
Comme j'ai écrit ailleurs, j'ai découvert le nom de l'oeuvre par un livre et j'ai acheté sans connaître quoi que ce soit. Je faisais même pas attention à l'interprète, mais je crois que c'était celui-ci :
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L'autre album de classique que j'écoutais en boucle - je ne casse pas la tête pour le retrouver - était des orchestrations des oeuvres pour piano de Chopin !
En fait pour moi ça souligne plusieurs choses dans mon apprentissage de piano et mon approche à la musique, c'était très superficiel et pour moi il y avait aucun pont entre les deux. Je n'y réfléchissais pas de tout, il y avait une déconnexion absolue entre ce que j'écoutais et ce que je jouais. Je n'ai jamais rêvé de jouer des œuvres pour piano solo de Chopin ou Rachmaninoff, même si je savais avoir aimé plusieurs oeuvres, je ne rêvais pas de regarder ou chercher les partitions de cette musique ou de demander si je pouvais en jouer. Je me demande aujourd'hui comment j'ai pu être aussi passive dans mon apprentissage de piano, de me laisser être absolument guidée par uniquement mes profs de piano, d'avoir jamais rêvé ou faire le lien entre ce que j'écoutais et ce que je jouais. Peut-être que c'était à cause de mon incapacité totale de jouer à l'oreille ce que j'entendais, à la différence que d'autres pianistes plus doués, que la déconnexion semblait alors naturelle. Je ne peux pas complètement laisser ma dernière prof sans un peu de responsabilité, elle savait que je préférais les œuvres romantiques, elle semblait vouloir éviter à tout pris dans mon répertoire qu'elle a choisi, elle a mis à l'écart la période romantique sauf les œuvres romantiques dans un recueil qu'elle a choisi, duquel j'ai quasiment tout joué. Enfin ça m'explique comment j'ai pu abandonner le piano aussi rudement pendant aussi longtemps sans regrets...
Les autres albums que j'ai écoutés en boucle n'était pas classiques...