Fête de 100 ans de mon Pleyel

[catherine]

De plus en plus (presque) sûre de venir !
On a le droit de jouer du Bach ? (avec autre chose pour compenser mais disons que ça m'arrangerait bien !)

[Vincent]

Lee : es-tu maintenant en mesure de confirmer que ce sera bien le 6/12 ?

[Lee]

Oui, je confirme

[catherine]

On a le droit de jouer du Bach ? (avec autre chose pour compenser mais disons que ça m'arrangerait bien !)

j'insiste pour savoir si je range tout Bach ou si je travaille encore un peu

[Lee]

Pas de contrainte de repertoire !

mais des "compensations" sont bienvenues.

[Midas]

Je me réjouis d'avance de jouer sur ton Pleyel, Lee, mais bien que je m'efforce à chaque fois de t'éviter du Bach, je risque d'en jouer cette fois. Il se trouve d'une part que je n'aurai pas beaucoup de temps pour travailler autre chose vu que Bach est mon pain quotidien à cause de l'orgue, d'autre part, ton piano délicat est particulièrement agréable pour Bach ou Mozart (c'est ce que j'avais joué la dernière fois). Je ne me vois mal sortir une de mes pièces tapageuses pour ça. J'en profite pour signaler pour ceux qui viennent de loin qu'il y a possibilité de loger chez moi.

[Lee]

En fait j'étais étonnée par la question, parce que je n'ai jamais empêché des gens de jouer Bach chez moi, et je pense que les amis ont bénéficié des œuvres de Bach lors de plusieurs rencontres, plusieurs fois par Midas mais aussi par d'autres amis de piano. Tout le monde aime Bach, je suis juste une grosse exception.

[Midas]

Je sais bien que tu n'interdis rien, mais il se trouve que j'ai envie de te faire plaisir et de jouer autre chose que du Bach sur ton piano, mais là tout de suite, je ne sais pas quoi encore. A noter que même à l'orgue, j'ai voulu t'éviter Bach et j'ai fait deux Beuvray sans Bach (plutôt, il y avait un morceau attribué à Bach, mais c'était juste une adaptation par Bach d'un concerto de Vivaldi). Sauf que tu n'es pas venue. Cette fois-ci, je suis à fond sur une toccata difficile, mais il semble que tu viennes. (tant mieux d'ailleurs, mais c'est mal tombé).